J'avai envie d'écrire je message car... je sais pas vraiment en fait... Tout à l'heure je me sui rappelé de la période... je ne sais pas comment l'appeler. Le mieu c'est que je vous en parle à travers les chansons que j'écoutais...
En tous premier lieu, voici cette chanson..
Amel Bent Le droit à l'erreur
Je ne marche plus droit
Et je prétendais tout voir
Je fais n'importe quoi Me voilà dans le noir
J'ai devant moi un mur qui m'empêche d'avancer Et mes yeux ne me servent aujourd'hui qu'à pleurer
Le réveil est brutal Est-ce que tu peux entendre ?
Les nuits baignées de larmes Est-ce que tu peux comprendre ?
Et je suis la coupable à condamner Et faire le pas qui peut nous rapprocher ?
J'ai perdu la direction et le sens Est-ce que mes regrets peuvent suffire
Je ne sais pas tenir la distance Effacer le mal des mots qu'on peut dire
Et me redonner des couleurs ?
REFRAIN
Est-ce que mon amour peut suffire
Je croyais tout savoir de nous
Et qu'un jour enfin tu pourras m'offrir
Être arrivée jusqu'au bout
Le droit à l'erreur ?
Et tenir si bien le coup
Je croyais tout savoir de moi
Mais y a tellement de choses qu'on ne sait pas
Comme toi !
Cette chanson qui me tient à coeur, elle exprime vraiment ce que je ressentais...
Julie Zenatti Rendez moi le silence
Rendez-moi le silence
Rendez-moi l'insolence
De ces matins avant la vie
D'un sage qui défie les rois
Un peu des évidences
Et puis l'impertinence
Que me donnait l'envie
De l'enfant qui ne sait pas
Rendez-moi la confiance Que vive la violence
Des souvenirs sans nostalgie Que je garde tout au fond de moi
Un peu de l'innocence Cette trouble inconscience
Qu'il nous faut quand on prie
D'avant quand je ne savais pas
Rendez-moi le silence Rendez-moi le silence
De nos regards tendres la nuit De ces matins avant la vie
Et puis l'indécence Un peu des évidences
De nos corps quand ils crient Que me donnait l'envie
Rendez-moi la violence
Rendez-moi le silence
De mes sentiments de jadis
Et de l'amour et de l'oubli
Et aussi l'insolence
Et que cesse la souffrance
De ce qui n'est jamais dit
Qui fait de moi qui je suis
Rendez-moi le silence
De ces matins avant la vie
Un peu des évidences
Que me donnait l'envie
J'avais vraiment l'impression qu'ils mavaient pris quelque chose, une part de vie... comme on soufle sur une bougie...
Après bien sur il y a l'envie de le revoir, de le retrouver...
Isabelle Boulay Un jour ou l'autre
Je garderais tous ces morceaux de nous
Que tu as laissés cassés un peu partout...
Un jour ou l'autre, on se retrouvera
Comme un matin d'enfance
Un jour tout autre, on se reconnaîtra
Pour une autre danse
J'ai vu des arc-en-ciel
Là où j'avais laissé fondre mes ailes
Même si tu vis dans d'autres vies que moi
Si chaque nuit nous éloigne pas à pas
Même si j'ai peur des ombres qui s'avancent
Dans cette chambre qui part vers le silence
Un jour ou l'autre, on se retrouvera
Comme un matin d'enfance
Un jour tout autre, on se reconnaitra
Au dela du silence
Parole incomplète
Et puis il y a la mélancolie...
Isabelle Boulay Je m'en contenterais
Tu es comme une odeur Tu erres en mon chagrin
Dans un coin de mon coeur Comme on promène un chien
Qui me colle aux regrets Dans un mauvais quartier
Et même t'apercevoir De tes mots de bazar
â travers le brouillard Que t'écris au hasard
Je m'en contenterai Sur du mauvais papier
Je m'en contenterai
Sur le grand tableau noir
La craie de ma mémoire Je n'ai pas d'autres choix
Ne peut pas s'effacer Tu es le seul baiser
Et même te voir de loin Que je n'oublierai pas
Dire adieu à un train Mon coeur vide de mots
Je m'en contenterais Et mon corps, de ta peau
Je n'ai pas d'autres choix Je m'en contenterais
Tu es le seul été
Qui me sauve du froid
Même de tes non-dit
Et même de ton mépris
Sache que bon gré mal gré
Je m'en contenterai
Paroles incomplètes
Et puis...
Isabelle Boulay Ou tu t'en vas
Tu m'embrasses pas, tu souris
À peine comme pour un ami
Ça fait mal, tes yeux sur moi, comme ça
J'aurais dû, oui, j'aurais dû, mais quoi
Derrière ton r'gard, j'vois passer
Toute cette lumière que j'aimais
Je suis là, dis-moi
Où tu t'en vas ?
Paroles incomplètes
Voila Voila...Je pense que sa résume bien la situation...
Bon en voila une dernière mais qui ne concerne plus cette période...
Isabelle Boulay Je ne voudrais pas t'aimer
Assise seule dans ce café,
Engourdie de souvenirs,
Regardant les feuilles tomber,
Et la nuit prendre la ville.
Paroles incomplètes
Il ne faut pas tenir compte du titre... Juste du couplet... Moi assise au Télégraphe,engourdis de tout mes souvenirs à Belley, regardant la nuit prendre la ville...